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16 mai 2020

Islam: Comment le dieu babylonien Sîn est devenu Allah !

nice chrétien

Le Pays de Nice, catholique par essence et dans lequel fut conservé le Saint-Suaire pendant 7 ans au 16eme siècle avant de partir pour Turin, a vécu bien des péripéties dans sa longue histoire. Attaques franco-turcs, razzias de barbaresques, idéologie jacobine... L'athéisme de façade de l'état avec sa laïcité à sens unique qui administre le Pays Niçois depuis 1860 suite à une annexion scélérate, avec un anticléricalisme revendiqué tout en expliquant que l'islam était une chance culturelle pour nous en le comparant souvent avec le christianisme, il nous a semblé bon de rétablir quelques vérités concernant la religion musulmane qui n'a jamais été aussi offensive à Nice comme partout en Europe d'ailleurs.  Chacun a le droit de croire en ce qu'il veut, cet article n'a aucun but politique, son objectif est de rétablir quelques vérités historiques et théologiques concernant les incohérences manifestes qui animent l'Islam !

sin islam

Dans l’Antiquité, à Babylone et tout le Moyen-Orient, le dieu principal était le dieu de la lune, représenté par un taureau, symbole de force et de fécondité, et plus simplement parfois par ses seules puissantes cornes en forme de croissant de lune.

C’est ainsi que l’on peut voir encore au Musée d’Alep (Syrie), le dieu de la Lune, Sîn, protecteur d’Ur, symbolisé par des hampes surmontées d’un croissant lunaire. Sous ses différents noms, le dieu de la lune fut très tôt adoré en Mésopotamie comme le « Père des dieux », l’équivalent de Zeus pour les Grecs ou de Jupiter pour les Romains. Les arabes païens adoraient eux-aussi ce dieu de la lune appelé Hubaal. Hubaal avait eu trois filles: Al-lât, la déesse du soleil, Al-Manat la déesse du destin et de la mort, et Al-Uzza, l’étoile Vénus, les divinités priées par Mahomet dans les fameux versets sataniques. La Bible, quant à elle, stigmatisait ce super-dieu représenté par un taureau comme étant le faux-dieu par excellence, appelé Baal.

Par souci de cohésion et de légitimité pour leur entreprise, les judéo-nazaréens ou juifs-messianiques, ces « faux-frères » comme les appelait S. Paul (Ga 2.4 ; 2 Co 11.13, 26 ; Ph 3.2), venus chercher auprès des tribus arabes du renfort pour reprendre Jérusalem, firent passer Hubaal du rang de plus puissant de leurs dieux (statut que conserve encore la célèbre formule « Allah akbar »!, «Allah est plus grand (que)»!) au rang de seul Dieu, et donc identique au Dieu juif. Et de même que les Romains disaient : « Ô Deus ! » (« Ô Dieu ! ») pour s’adresser à Jupiter, de même chaque tribu arabe s’adressait à son dieu propre en le nommant « Le dieu », « Al-Ilâh », ce qui par contraction a donné « Allah » , « LE Dieu », unique, pour désigner Hubaal, le Dieu de la lune et le plus grand des dieux devenu le seul Dieu. Et c’est ainsi qu’aujourd’hui encore Hubaal continue à couler des jours heureux, toujours représenté sur les drapeaux musulmans ou le toit des mosquées… souvent d’ailleurs accompagné de sa fille, la planète Vénus, la déesse Al-Uzzah…

Contrairement donc à ce que veut faire croire l’islam, Allah, même s’il est vrai qu’il s'agit d'un dieu unique, il est le produit de la rencontre entre l’idolâtrie de Hubaal, le dieu de la lune, le plus grand des dieux du panthéon arabe, et l’affirmation de l’unicité divine typique du judaïsme, en sorte que l’islam, à proprement parler, n’est rien d’autre qu’une idolâtrie du dieu juif.

Kaaba Vagin Allat

Il est facile en effet de reconnaître encore d’autres sources païennes de l’islam, comme par exemple la vénération de la pierre noire à la Mecque, symbole féminin de la déesse Shaybah. Ainsi que cela se pratique encore d’autres religions, et comme autrefois le faisaient leurs ancêtres arabes païens aimant toucher la vulve de la déesse en gage de bénédictions, aujourd’hui encore les musulmans se font une joie de terminer leur pèlerinage à la Mecque en touchant et embrassant cet objet sacré…

Bref, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi, sous couvert de respect du caractère sacré de la religion, l’islam condamne comme blasphémateurs et souvent passibles de la peine de mort, ceux qui osent réfléchir sérieusement au bien-fondé de son discours officiel…

 Un évangile écrit par... les musulmans !

 « L’Évangile de Barnabé » est un ouvrage décrivant la vie de Jésus rédigé par un ou plusieurs auteurs anonymes vraisemblablement musulmans, sans doute à partir d'un texte plus ancien de teneur judéo-chrétienne. Les deux manuscrits les plus anciens écrits en italien et espagnol ont été datés de la fin du XVIèmé siècle, mais du texte espagnol il ne subsiste qu'une copie du XVIIIème siècle. Le manuscrit italien comprend 222 chapitres, dont l'essentiel décrit le ministère de Jésus. Sous plusieurs aspects, notamment l'annonce explicite de la venue de Mahomet, il est conforme à l'idée que se font les musulmans du Nouveau Testament.

Cet Évangile est considéré par les chercheurs sérieux comme une « fraude pieuse », tardive et pseudépigraphique ; les musulmans ne le considèrent ni plus ni moins authentique que les autres évangiles (qui de fait sont en contradiction totale) et certaines organisations islamiques le citent pour appuyer la conception islamique de Jésus, le seul qui contiendrait selon elles la vérité sur la crucifixion.

 Pour résumer, selon l'islam, Jésus-Christ n'était qu'un prophète qui aurait annoncé la venue de Mahomet, en aucun cas le fils de Dieu et encore moins la Sainte Trinité, fondation de la religion chrétienne. L'Islam va même jusqu'à affirmer que Jésus aurait organisé un tour de passe passe, ne serait jamais monté sur la croix et que ça aurait été une doublure qui aurait été crucifiée ! La connexion entre Jésus et Mahomet se faisant grâce à deux manuscrits dont les plus anciens furent écrits en italien et espagnol et qui ont été datés de la fin du XVIèmé siècle !

 En prenant acte de tout ça, on peut se demander comment est-il possible que l'église catholique puisse reconnaître une religion qui piétine les fondamentaux du christianisme en falsifiant de manière criante la vie du Christ qui avait pourtant mis en garde contre toute personne qui se réclamerait de lui dans le futur serait... l'antéchrist !

 En fait, il n'existe dans la bible qu'une seule référence à la futur nation arabe et en aucun cas n'y est mentionné un quelconque prophète issu de la lignée d'Ismaël, fils d’Abraham supposé être le dénominateur commun des trois religions monothéistes, elle se trouve dans la Genèse 16-1-16.

La connexion opportuniste des auteurs du Coran au livre saint par l'intermédiaire d'Abraham se base d'ailleurs sur un verset pas très flatteur pour les musulmans....

(Genèse 16-1-16) :

10 - Puis l'ange de l'Eternel affirma à Agar : « Je multiplierai ta descendance. Elle sera si nombreuse qu'on ne pourra pas la compter ».

11 - L'ange de l'Eternel lui dit : « Te voici enceinte. Tu mettras au monde un fils à qui tu donneras le nom d'Ismaël, car l'Eternel t'a      entendue dans ton malheur ».
12 -  « Il sera pareil à un âne sauvage. Sa main sera contre tous et la main de tous sera contre lui. Il habitera en face de tous ses frères ».

 Voici donc le seul passage de la bible où est mentionné le peuple qui accouchera de l'Islam !

Point de prophète en vue, juste «  il sera pareil à un âne sauvage. Sa main sera contre tous et la main de tous sera contre lui. Il habitera en face de tous ses frères ».

 Tous les miracles réalisés par Jésus-Christ ont été observés par un grand nombre de ses contemporains, au point de faire vaciller le puissant empire romain !

 Les supposés miracles du guide suprême des musulmans ne furent pas observés sinon par Mahomet lui-même ! Parmi ces « miracles » se trouve un voyage aller-retour en une nuit de la Mosquée sacrée de la Mecque à Jérusalem à dos d'âne ailé à tête humaine, pour se rendre à la Mosquée Al-Aqsa alors que du vivant du prophète Mahomet, qui est mort en 632, la mosquée n'existait pas et n'avait pas encore été construite avant la conquête de Jérusalem par Omar en 638.

La Bible:

 Elle forme non pas un livre, mais une bibliothèque à elle seule, en raison de la multitude d'écrits à partir desquels elle s'est constituée. Son élaboration a duré plus d'un millénaire. Les quatre Evangiles, racontant la vie et la prédication de Jésus, ont été rédigés par diverses communautés chrétiennes, le premier d'entre eux, celui de Marc, quarante ans après la mort du Messie. Il faudra attendre le IVèmè siècle après Jésus-Christ pour que la forme canonique du Nouveau Testament soit établie par l'Eglise.  

Pour les chrétiens, l'Alliance biblique est une alliance entre Dieu et l'humanité en général ou avec le peuple descendant d'un prophète en particulier comme Noé, Abraham, Jacob-Israël. A priori cette alliance n'a de sens que pour le judaïsme et le christianisme qui croient au caractère sacré de la Bible.

Le Coran:

C'est la parole même d'Allah, irréfutable et intouchable, "Le Livre qui ne doit pas être mis en doute" (sourate 2, 2). Il a été révélé à Mahomet sous la dictée divine. Il est « incréé ». Le Prophète l'a récité et ceux de ses fidèles qui savaient écrire l'ont retranscrit. Selon la tradition, en 652, vingt ans après la mort du Messager de Dieu, le calife Othman ordonne de rassembler ces textes épars en un seul livre : le Coran.  

Le mot « islam » est la translittération de l'arabe الإسلام, islām, signifiant : « la soumission et la sujétion aux ordres de Dieu ».

Ces quelques références (et il en existent beaucoup d'autres) démontrent aisément la falsification historique et théologique qui a permi à l'islam de créer une connexion artificielle entre la Sainte Bible et le Coran... entre Jésus-Christ et Mahomet.

On peu ajouter les djinns, l'hommage à la vulve d'Allat, (pierre noire), le culte rendu à « Ishtar 'Kili li » appelée également « la Reine des prostituées » qui est originaire d'Arabie. En effet, la tradition chez les musulmans qui consiste à tourner autour de la Pierre Noire (le cube/la Ka'ba) remonte au culte rendu à Ishtar (appelée aussi Athtar ou Allat). La Kaaba remplit parfaitement le rôle de la prostituée. Comme le souligne Edward Gibbons, la bâche noire est considérée par les musulmans comme la robe d'une femme (Kiswa) : « ... La magnifique kiswa qui recouvre la Kaaba est utilisée pour recouvrir ce qui est [vertueux]. Sur le dessus est inscrite une phrase qui signifie, « nous l’avons revêtue de sa robe ». 

La conclusion est que le Dieu des musulmans ne peut pas être le même que celui des judéo-chrétiens.   

 

jesus-l-enquete

ENQUÊTE METICULEUSE SUR LA RESURECTION DU CHRIST:

Histoire vrai, à voir ou à lire absolument !

Lee Strobel, journaliste d’investigation au Chicago Tribune et athée revendiqué, est confronté à la soudaine conversion de son épouse au christianisme. Afin de sauver son couple, il se met à enquêter sur la figure du Christ, avec l'ambition de prouver que celui-ci n'est jamais ressuscité…

 

 

 

 







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