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19 novembre 2010

Les festivités du 150eme anniversaire du "rattachement" de Nice à la France !


estrosi_150_ans

couverture_verite_

En cette années du 150e anniversaire de l’annexion de Nice, cet ouvrage très documenté fait le point complet sur cet évenement capital et ses prolongements. Beaucoup de Niçois instruits par la tradition orale n’ont jamais cru à la version officielle du vote massif en faveur de l’annexion. Le résultat invraissemblable du plébiscite de 1860 et un trait caractéristique de toutes les dictatures. Mais la version officielle, véhiculée par l’université, les institutions et les historiens proches du pouvoir, occultait l’évidence ; le sujet n’était pas étudié, les pièces manquaient, dispersées ou volontairement retenues. Cependant, les ouvrages récemment parus dans la collection Les Cahiers de l’annexion, et la mise en lumière de documents irréfutables, ont totalement décrédibilisé la version officielle. Aujourd’hui, ouvertement ou à demi-mot, la fraude est largement admise. Seuls les hommes de parti ne peuvent reconnaitre une vérité qui les prive de toute légitimité à Nice.
LA VERITE SUR L'ANNEXION DE NICE de Alain Roullier-Laurens

 

ciotti_150_ans

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18 novembre 2010

Estrosi et sa Marianne « niçoise » : La provocation atteint son paroxysme !

Marianne_EstrosiLe maire de Nice Christian Estrosi, en cette année du 150eme anniversaire de l'annexion scélérate largement démontrée aujourd'hui, a de nouveau trouvé un moyen de provoquer les Niçois. Après sa  volonté frénétique de réhabiliter Napoléon le petit , l'édification du monument stalinien en ferraille à la gloire de l'asservissement du Peuple Niçois, les affiches géantes négationnistes « En 1860 Nice choisit la France... », Nice renommée NCA, le doigt d'honneur qui remplace la statue de Charles- Felix devant la mairie et toute la vieille soupe périmée servie par le monopole de presse, l'ex ministre remercié pour son trop grand talent par la fidèle réplique de Napoléon III , nous sort le résultat d'un soi-disant casting ...
« La belle incarnera la République à la sauce azuréenne... » écrit Nice-matin ! Tiens donc ?
Selon le monopole il n'y aurait eu qu'une petite centaine de candidates (Niçoises?) pour postuler à la représentation de celle qui symbolise le jacobinisme français le plus dur et la tyrannie que subirent les habitants du Pays Niçois qui savent très bien de nos jours à quelle « sauce » furent cuisinés leurs ancêtres par la république française suite à l'invasion de 1792 ! Exactions en tous genres, la convention des colons marseillais, arrêtés préfectoraux d'extermination des Résistants Niçois ( les Barbets) et instauration de la Ségrégation Raciale au nom de la liberté et de l'égalité ! Puis Marianne détruisit méthodiquement l'identité Niçoise après la forfaiture de 1860, la Liberté fut confisquée, les bâtiments de l'ancien senat transformés en prison, la langue niçoise bannie, la Cour d'Appel supprimée ainsi que l'université ! Plus tard, Marianne réprima dans le sang le soulèvement séparatiste de 1871 !
Marianne ! Quel symbole pour les Niçois !

 

« J'ai toujours entendu dire par les républicains qu'ils étaient les défenseurs des droits de l'homme contre la tyrannie...
Ceci soit dit pour la dernière fois à la confusion de ces doctrinaires qui veulent se faire un monopole de la conception républicaine comme s'ils en étaient les inventeurs, et comme si avant eux, il n'eût jamais existé de république
».
Jousé Garibaldi

16 novembre 2010

Blog les Barbets: La vérité sur les résistants Niçois !

Souvent qualifiés de brigands comme le feront lors de la seconde guerre mondiale les Allemands avec les Résistants Français, ces rebelles à « l'ordre nouveau » décrété en 1789 et imposé par une force étrangère n'avaient rien de bandits ou de criminels. Ces hommes issus de la société civile défendaient leurs foyers contre les armées révolutionnaires françaises (puis impériales) qui venaient les asservir.                                                         (Cliquez ci-dessous)

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15 novembre 2010

Communiqué de la L.R.L.N qui Appelle les Niçois à la mobilisation

NISSA« Le maire de Nice, vient de subir un très cuisant échec auquel beaucoup s’attendaient, il est vrai. Il faut croire que le président de la République et le Premier ministre n’ont pas apprécié son action au ministère de l’Industrie, puisqu’ils l’ont remercié sans même lui octroyer un strapontin de consolation dans le nouveau gouvernement. Le copinage parisien n’a pas résisté à la dure réalité économique. Mais c’est la situation de Nice qui nous préoccupe en priorité. Suite ICI

15 novembre 2010

Politique: Communiqué du Parti Niçois-Partit Nissart.

partit_nissartCommuniqué du Parti Niçois  - 14 Novembre 2010 ; 20 H 30     « Ce soir, le couperet élyséen est tombé. Il semble que M. Estrosi n’ait pas réalisé que la tâche d’un ministre ne consiste pas à déclamer des formules creuses sur un ton péremptoire, et à prendre des poses devant les photographes. Il n’était pas apprécié à Paris dans les cercles dirigeants et très affaibli à l’U.M.P, où des figures de proue du mouvement, ne cachaient pas leurs sentiments à son égard. Le président de la République, et le premier ministre en ont tiré les conclusions. Durant son passage au ministère de l’Industrie , la France a perdu 200 000 emplois industriels, ce qui conduit certains à le qualifier de « ministre des fermetures d’entreprises ». L’on connaît aussi dans la capitale, les sentiments qu’éprouvent de plus en plus de Niçois à son égard, lesquels se traduiront dans les urnes lors des prochaines échéances électorales. Quand le capitaine d’un navire veut gagner une course, il fait jeter les poids inutiles à la mer, quand un gouvernement joue une course de vitesse avec la crise, il fait de même. La disgrâce s’est même fait sentir dans les médias, qu’affectionne M. Estrosi ; son nom n’a pratiquement pas été cité et la Chaîne France 2 l’a même « oublié » dans la liste des sortants... Cruelle réalité, que de périr par là où l’on pensait régner...

« Revenu enfin à Nice, qu’il a trop longtemps délaissée alors qu’il avait promis de quitter son ministère pour s’y consacrer, il va trouver une opinion aussi sévère pour lui, qu’à Paris. il va y trouver aussi le désert politique, social et culturel, qu’il y a laissé et un mécontentement croissant, contenu pendant trois ans, mais qui va certainement faire bouger les lignes lors des prochaines échéances électorales. Si à Paris, il est « le ministère de la fermeture d’entreprises » à Nice il est le maire fantôme qui a augmenté sensiblement les impôts locaux, bunkérisé la mairie, fait installer une forêt de caméras dans les rues et reconduire chez eux deux mineurs après le couvre-feu qu’il a fait instaurer, lequel était présenté comme une panacée pour renforcer la sécurité et la protection des jeunes. A ce bilan qui se passe de commentaires, il faut ajouter, la coûteuse affaire des jeux olympiques, du tram sur la promenade et le gaspillage éhonté des fonds publics en publicités inutiles dans le quotidien local.

En trois ans, le maire, a fait à Nice la preuve de son incapacité à gérer cette ville ; le déluge de photographies de sa personne parues dans le quotidien local depuis son élection, n’y changera rien, car en politique la bilocation ne conduit pas à la canonisation, mais à la mise la retraite.

Nice est un navire sans capitaine et sans gouvernail ; tout nous prouve depuis trois ans, que situation ne peut notablement évoluer, sinon en pire. Les paillettes, les effets d’annonce, les emplâtres sur une jambe de bois, le gaspillage des fonds publics, le total mépris de l’identité niçoise, le « mariage de Nice avec Marseille » et la promotion de l’écharpe du club de football Monaco, que le maire porta publiquement, cela suffit. Les Niçoises et les Niçois doivent prendre les choses en main.

Le comité politique du parti Niçois se réunira très prochainement pour préparer les prochaines élections cantonales et décider s’il sera présent lors de ce scrutin. En attendant, nous demandons aux Niçoises et aux Niçois de se mobiliser pour Nice et de soulever l’éteignoir que l’actuelle municipalité à mis sur la ville ».
Fin de communiqué   

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6 novembre 2010

Charte de la Dédition de 1388

Comté de Nice 1388
  • Article 1 : Le comte de Savoie promet de gouverner et de protéger Nice et sa viguerie à ses propres frais et contre quiconque voudrait s’en emparer et surtout contre la comtesse d’Anjou et les seigneurs de Tende et de la Brigue.
  • Article 2 : A la requête des syndics de Nice il s’engage à faire son possible pour reprendre à la maison d’Anjou les autres villes et terres des comtés de Provence et de Forcalquier et les réduire sous la bannière de l’empereur et de la sienne.
  •  Article 3 : Si le roi Ladislas dans l’espace de trois ans pourra rembourser au comte les dépenses qu’il aura faites pour l’occupation et la garde des dites terres et qui seront évaluées sur simple assertion du prince, celui-ci devra lui remettre les terres qu’il a occupées.
  • Article 4 : Le comte promet que pendant ces trois années d’occupation, ou après, il ne cédera ni vendra la ville et la viguerie de Nice soit à la duchesse d’Anjou soit au roi de France ou à tout autre seigneur, hormis toutefois au roi Ladislas.
  •  Article 5 : La ville de Nice jure d’obéir pendant ces trois années au comte et à ses officiers comme elle le faisait aux comtes de Provence et de lui laisser la jouissance des rentes de la ville et de la viguerie dont jouissaient les anciens ; souverain malgré cela la ville ne sera pas tenue à prêter l’hommage, mais le prince sera libre de recevoir celui des citoyens qui voudraient le faire.
  •  Article 6 : Le comte s’oblige pour lui et ses héritiers à annuler toute vente ou donation qu’il pourrait faire de fiefs ou autres bien domaniaux, autant dans la ville que dans la viguerie.
  •   Article 7 : Le comte accordera libre passage à toute personne et surtout aux Niçois qui par mer ou par terre désireraient porter des secours d’hommes, d’armes ou de vivres au roi Ladislas.
  •   Article 8 : Le comte défendra le passage à toutes personnes voulant combattre le roi Ladislas ou s’emparer de nos domaines.
  •  Article 9 : Le comte promet que si dans l’espace de trois ans le roi Ladislas sera à même de lui rembourser tous les frais de l’occupation et de la garde de toutes les villes et terres dépendantes de ce denier et que ledit comte refuse le remboursement et la restitution de ces domaines, dans ce cas les habitants, de leur propre mouvement et sans être coupables  de rébellion, pourront se soustraire à la domination des comtes de Savoie, et retourner à celle de Ladislas.
  •  Article 10 : Le comte ne pourra, dans les jugements criminels et civils, transporter quelque personne que ce soit d’un lieu à un autre, ou d’une juridiction à une autre, à moins que les droits du comte fussent directement atteints.
  •  Article 11 : La ville de Nice et sa viguerie pourront conserver les gabelles et les impôts établis pour les nécessités de la guerre et qui lui appartient, ou abolir, mais les impôts dus à la cour seront payés au comte.
  •  Article 12 : Dans le cas où le comte réussirait à s’emparer de tout le comté de Provence et de Forcalquier, il établira dans la ville de Nice la résidence du sénéchal et des autres grands officiers, ainsi que cela se pratiquait pour la ville d’Aix sous la reine Jeanne ; ce privilège cependant ne dépendra que du bon plaisir du Comté.
  •   Article 13 : Le comte promet d’accorder des lettres de marque et de représailles contre toute personne étrangère qui refuserait de rendre justice à un habitant de Nice, selon l’usage d’Italie.
  •   Article 14 : Le comte conservera à Nice la gabelle du sel et livrera le sel aux habitants au prix habituel de 2 sous et demi par setier ; en temps de guerre le prix sera fixé par le comte et les syndics de Nice.
  •  Article 15 : Le comte promet de n’accorder ni paix ni trêve à la duchesse d’Anjou sans l’avis des Niçois et ce pendant tout le temps qu’elle visera à la conquête des comtés de Provence et de Forcalquier.
  •   Article 16 : Pendant la période de temps sus indiquée le comte ne pourra empêcher aucun Niçois de porter aide ou secours au roi Ladislas, excepté cependant le cas où cela fut de préjudice au comte ou à la ville.
  •   Article 17 : Jamais à l’avenir le comte n’obligera directement ou indirectement les niçois à marcher contre le roi Ladislas, excepté dans le cas où celui-ci fit la guerre contre le comte de Savoie ou contre une ville dépendante de lui.
  •  Article 18 : Si les Niçois se déclareront en faveur d’un des papes, le comte tâchera d’obtenir de lui la levée de toute excommunication qui aurai pour l’objet l’usurpation de biens ou revenus religieux ou la destruction de châteaux, maisonnées ou autres édifices religieux.
  •   Article 19 : Le comte s’engage à chasser de leurs domaines, par la voie de la conquête ou d’échange, les comtes de Vintimille seigneurs de Tende et de la Brigue, afin d’assurer la liberté de communication entre Nice et le Piémont.
  •   Article 20 : Le comte accorde franchise et immunité de tout droit de rivage et de quarantaine aux étrangers qui apporterons à Nice des denrées de ravitaillement :  cela pourtant selon le bon plaisir du comte.
  •   Article 21 : Le comte promet que s’il acquerra d’autres terres dans les Comtés de Provence et de Forcalquier, au juge de Nice seront dévolues les premières appellations soit civiles que criminelles, pour les terres en deçà de la Siagne, ainsi que pour celle des vallées de Barcelonnettes, de Saint-Etienne, de la viguerie de Puget-Théniers et du bailliage de Sigale ; cette juridiction sera exclusivement de la compétence du juge de Nice par le privilège perpétuel, même dans le cas où la cour suprême ne le s’établirait pas à Nice, ou que cela parût préférable pour l’avantage général du pays.
  •   Article 22 : Le comte fera restituer les biens, fiefs et châteaux situés dans le district de Nice aux personnes de la ville auxquelles on les aurait confisqués à causes de guerres qui ont eu lieu entre le roi Ladislas et le duc d’Anjou.
  • Article 23 : Dans le cas où le dit comte ne parviendrait pas à conquérir le reste de la Provence, il ne permettra pas que les habitants de la viguerie de Nice qui ont été rebelles au roi Ladislas, ont marché contre la ville et agi à son détriment puissent y retourner et conserver leurs biens, sauf bien entendu les droits créanciers.
  •  Article 24 : Lorsque la ville de Nice se sera prononcé en faveur d’un des papes, le comte tâchera d’obtenir de lui qu’il affranchisse les maisons situés dans la ville et qui relèvent de l’abbaye de Saint Pons, en donnant à celle-ci, à titre de compensation, un ou plusieurs des châteaux qui appartiennent aux seigneurs rebelles à Ladislas et qui par ce moyen parviendraient au pouvoir du comte.
  • Article 25 : On établira dans la dite ville une casana, ainsi qu’il y en a l’usage dans plusieurs régions d’Italie.
  • Article 26 : Comme il arrive que les négociants débarquent à Nice des balles de marchandises qu’ils destinent à être ensuite expédiées dans les régions d’orient, d’occident ou du nord, les seuls citoyens de Nice auront le droit de recevoir ces marchandises, pour que le profit leur en soi exclusivement dévolu.
  •  Article 27 : Sur la demande des syndics, le comte de Savoie ordonne qu’on annulera toutes les enquêtes et procès criminels dont est déjà saisie la cour de Nice, ou qui pourraient s’y commencer à cause des derniers évènements ; en signe de nullités on brûlera les registres et cartulaires de ces procès, sauf pourtant les droits que pourraient avoir les personnes lésées et les bans auxquels les coupables seraient tenus.
  •   Article 28 : Si le comte ajoutera d’autres conquêtes à celles qu’il vient de faire, il tâchera d’obtenir qu’on  restitue aux bénéficiaires les droits dont ils auraient été privés.
  •  Article 29 : Sur la demande présentée par le comte de Savoie qu’on ait à lui livrer la forteresse de Nice et les autres châteaux de la viguerie en force du protectorat qui lui a été conféré, il a été convenu que Jean Grimaldi seigneur de la baronnie de Beuil et les syndics décideraient si c’était le cas ou non de faire cette livraison.
  • Article 30 : Les syndics de Nice, au nom de leurs mandataires, promettent par serment que pendant les trois années suivantes ils obéiront au comte et que celui-ci exercera sur eux le mère et mixte empire, la haute et basse juridiction et jouira de tous les honneurs et de tous les revenus : le tout comme sous le régime des anciens comtes de Provence. Les publications se feront au nom dudit comte et vicaire impérial.
  • Article 31 : A l’expiration des trois années, si le roi Ladislas ne pourra pas rembourser le comte, Nice et sa viguerie feront acte d’hommage et de fidélité audit comte.
  • Article 32 : Le comte alors sera tenu à confirmer à la ville et viguerie de Nice, tous les privilèges qui leur ont été jadis octroyés par la reine Jeanne et les rois Charles et Ladislas
  • Article 33 :  Dans le cas pourtant où le roi Ladislas pendant les trois années ci-dessus parvînt à un degré de tel puissance, qu’il pût rembourser tous les frais en question et que le comte après avoir restitué les territoires occupés se trouvât engagé dans une guerre avec la duchesse d’Anjou ou ses descendants, dans ce cas la viguerie de Nice serait tenue à lui donner, à titre de subside et durant la guerre, les revenus de toute sorte que la cour royale avait jadis le droit de percevoir.
  •  Article 34 : Dans les cas où le roi Ladislas vendît ou cédât au comte ses droits sur la viguerie, celle-ci aussitôt lui en prêtera un hommage formel. 
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